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[Historique du GHS]

Bulletins du GHS, n° 1 de janvier 2003 et n° 2 d'avril 2003

 

N°1 JANVIER 2003

BULLETIN DU GROUPE D'HISTOIRE SOCIALE

Afin de tenir informer les membres du " Groupe d'Histoire Sociale " des activités et initiatives de l'association, le bureau a décidé de créer un bulletin d'informations auquel nous souhaitons associer tous les membres de l'association qui le désirent.

 

Première Journée d'études du GHS : " L'histoire sociale du travail : un objet à reconstruire ? "
Le 30 janvier de 18h à 20h au centre Mahler, 9 rue Mahler (Métro Saint Paul) avec François Vatin (sociologue, Paris X Nanterre), Christian Chevandier et Michel Pigenet (Historiens, Centre d'histoire du XXe siècle, Paris I)

" Rendez-vous Hatier "
Le GHS est co-organisateur de cycles de conférences à destination des professeurs de l'enseignement secondaire. Chaque conférence propose une analyse critique des programmes et de leur traitement dans les manuels scolaires par des spécialistes.

 

Cycle Guerre et image (2003)

-Mercredi 22 janvier 2003. IUFM de Paris, 56 bd des Batignolles, métro : Rome, 14 h
"Le cinéma d'une guerre mondiale à l'autre : entre propagande et avant-garde ". Intervenants : Marc Ferro, Sylvie Lindeperg et Laurent Veray.

-Mercredi 9 avril 2003. IUFM de Nantes
"Guerres de religion, guerre des images ", Intervenants : David El Kenz, Claire Gantet et Franck Lestringant.

- Mercredi 8 octobre 2003. Institut Lumière de Lyon
"Des guerres sans nom, mais pas sans images. Pour une comparaison des guerres d'Algérie et du Vietnam ", Intervenants : Raphaëlle Branche, Benjamin Stora et Bertrand Tavernier.

 

Histoire & Sociétés (programmation des dossiers)
Numéro 5, janvier-février-mars 2003 : La Fée électricité en conflit (coordination Stéphane Sirot)
Numéro 6, avril-mai-juin 2003 : Les États sociaux
Numéro 7, juin-juillet-août 2003 : Guerre et changement social (coordination Pierre Purseigle)

 

 


Groupe d'études " Centenaire du Ministère du Travail et de la Prévoyance sociale (1906-2006) "
Le ministère du travail aura bientôt cent ans. Le GHS et sa revue, Histoire & Sociétés, ont participé à la création d'un groupe de recherche ayant pour but de préparer des initiatives permettant de mieux connaître les caractéristiques et les transformations de cette institution.

À l'issue de la réunion du jeudi 26 septembre 2002 (Musée Social) rassemblant des chercheurs et/ou laboratoires intéressés, plusieurs groupes de travail se sont constitués autour des thèmes suivants :
- Les sciences du travail (fin XIXe-1914) ;
- Les personnels du ministère du Travail ;
- Le rôle du ministère du Travail dans la construction du droit et de la réglementation du travail (élaboration et application des textes) ;
- Les ministères du Travail en Europe orientale et en Espagne : approche comparatiste.
Les institutions suivantes ont adhéré à l'association : Musée Social ; Centre des Archives du Monde du Travail (Roubaix) ; Centre d'histoire du XXe siècle (Université Paris I) ; Institut régional du Travail d'Aix-en-Provence ; IDHE (Université de Nanterre Paris X).

Un premier séminaire aura lieu le 6 février de 17h30-20h au musée social (5, rue Las Cases, Métro : Solferino) à propos du bilan des connaissances sur l'histoire du ministère du Travail


Pour nous contacter, nous envoyer des informations ou des commentaires pour enrichir ce Bulletin… :
- Président et responsable du Bulletin : Jean-François Wagniart
38 rue de Touranies
91530Le Val Saint-Germain
01.64.59.04.48 et 01.40.361806
wagniart@club-internet.fr

- Secrétaire : François Guedj
20 rue Alexandre Dumas, 75011 Paris
0146591377
guedj.francois@libertysurf.fr

- Trésorier : Jérôme Martin
9 rue de Clignancourt, 75018 Paris
59 0142542548
Michalletmartin@aol.com

 

 

 

 

BULLETIN DU GROUPE D'HISTOIRE SOCIALE

N°2 GHS, association régie par la loi de 1901, Avril 2003


Voici enfin le second numéro du Bulletin du Groupe d'Histoire Sociale (le premier numéro datait de janvier 2003). Ce Bulletin est conçu pour annoncer les activités et initiatives du GHS mais il doit aussi devenir un lieu de débats, en particulier en prolongeant les réunions et journées d'études organisées par le GHS et en donnant une suite aux dossiers et articles publiés dans Histoire et Sociétés. Nous souhaitons y associer tous les membres de l'association.

 

"Les journées d'étude du Groupe d'histoire sociale"


" L'histoire sociale du travail : un objet à reconstruire ? "

Le 30 janvier a eu lieu, au centre Mahler, 9 rue Mahler la réunion de réflexion du GHS sur ce thème, avec la participation de François Vatin, Christian Chevandier et Michel Pigenet.

Le thème vient de loin : Antoine Prost n'écrivait-il pas, déjà en 1992, que l'histoire sociale " est une construction historique ; elle a eu un commencement et il se peut qu'elle ait une fin ". C'est sur cette citation que l'historien britannique Geoffrey Crossick, professeur à l'Université d'Essex, concluait, le 24 avril 2000, sa conférence sur " Qu'est-ce que l'histoire sociale ? ", devant le public de l'Université de tous les savoirs. Cette conférence en forme de bilan propose le constat selon lequel il a existé " un projet d'histoire sociale " qui liait ensemble " une myriade de sous-disciplines " spécialisées : ce projet disparu, la discipline s'est fragmentée (Université de tous les savoirs, L'Histoire, la Sociologie et l'Anthropologie, vol. 2, Odile Jacob Poche, 2002.

C'est dans ce contexte que s'inscrit l'organisation de ce débat, autour de la question de la " reconstruction " de l'histoire sociale. Le GHS a été formé pour favoriser les échanges entre chercheurs de diverses disciplines et de différents pays, pour lutter contre l'émiettement et la perte de " lisibilité " de l'histoire sociale dans le champ disciplinaire actuel.
L'étape suivante pourrait être le développement d'une discussion dans le cadre de ce Bulletin, par exemple à partir des propositions émises ci-dessus : membre ou pas du GHS, tous vous êtes invités à vous saisir de la question, étudiants, enseignants, chercheurs de toutes disciplines.
Adressez vos contributions, aussi brèves que possibles (1000 à 1500 signes), par message internet au GHS.

 

" Histoire, société et sciences sociales "

La conférence " Histoire, société et sciences sociales " organisée par le GHS à l'université de Florence (annoncée dans H&S n° 5, p. 89), avec des interventions de M. Verga, A. M. Banti et P. Giovannini, fera l'objet d'un compte-rendu dans un prochain Bulletin.

 


" Les futures journées d'études "

" Enseigner l'histoire sociale dans le Secondaire "

Le GHS envisage d'organiser à l'automne, lors des journées de l'histoire de Blois, en partenariat avec le Syndicat National de l'Enseignement Secondaire (SNES-FSU), une journée d'études sur ce thème. Des collaborations européennes sont prévues.
Les collègues qui souhaitent apporter leur contribution, communications, posters, articles, peuvent se faire connaître : J.-F. Wagniart, wagniart@club-internet.fr.

 


" Politiques sociales en perspective transatlantique
États-Unis/Europe (XXème siècle) "

Cette journée d'études, programmée pour mars 2004 par l'Université d'Arras en collaboration avec Histoire & Sociétés, vise à ouvrir la voie à une analyse dynamique de la genèse, de la nature et du fonctionnement des politiques sociales.
La réflexion s'organisera autour de trois temps : les " laboratoires sociaux " du début du siècle où se forge une réflexion théorique et pratique autour de l'assistance et de l'assurance sociale ; l'institutionnalisation des politiques sociales lors de la constitution d'un État-Providence en Europe et aux États-Unis des années 1930 aux années 1960 et enfin la crise intellectuelle, fiscale, sociale et politique, débutant dans les années 1970 et annonçant la refonte ou le démantèlement des politiques sociales.
Les propositions de communication sont à envoyer sous la forme d'un résumé d'une page à Romain Huret,Romain.Huret@wanadoo.fr et Stéphane Sirot, stephsirot@yahoo.fr.

 

" Enseignants dans le Secondaire"

Le GHS est co-organisateur de conférences, les " Rendez-vous Hatier ", à destination des professeurs de l'enseignement secondaire. Prochain " Rendez-vous ", dans le cadre du Cycle Guerre et image, mercredi 8 octobre 2003. Paris (lieu à préciser) : "Des guerres sans nom, mais pas sans images. Pour une comparaison des guerres d'Algérie et du Vietnam", Intervenants : Raphaëlle Branche, Benjamin Storra.

 

" Centenaire du Ministère du Travail et de la Prévoyance sociale "

Le 21 avril a eu lieu la seconde séance du séminaire du Groupe d'études Centenaire du Ministère du Travail ( 1906-2006 ) auquel sont partie prenantes le Musée Social, le Centre des Archives du Monde du Travail (Roubaix), le Centre d'histoire du XXe siècle (Paris I), l'Institut régional du Travail d'Aix-en-Provence, l'IDHE (Paris X), ainsi que le GHS.
La prochaine réunion, le 4 juin, au Musée social, à 17 h, concernera " les sciences du travail ".
Pour participer à ce programme de recherches, contacter le GHS (J. Martin, Michalletmartin@aol.com).



" Edition en partenariat"

Frémeaux & Associés (20 rue Robert Giraudineau, F 94300, Vincennes) édite, en partenariat avec Histoire & Sociétés, les conférences de l'Université de tous les savoirs consacrées à l'histoire : six CD audio regroupant les conférences prononcées par A. Corbin, G. Crossick, A. Laroui, P. Ory, M. Perrot, A. Schnapp.



" Histoire et Sociétés, revue européenne d'histoire sociale ", n° 6, mai 2003

Dossier : " Pour une histoire des États sociaux "

Annoncée depuis le début des années 1980, la crise de l'État-providence n'a pas entraîné la disparition des États sociaux. Cela tient peut-être à l'hypothèse forte suggérée par Cécile Lefebvre évoquant l'évolution des États socialistes : l'État social n'est-il pas finalement une des formes modernes de légitimation communes aux États du XXe siècle ? Cela tient aussi à la résistance de systèmes de protection sociale qui ont fait l'objet de conflits, mais aussi de compromis politiques aujourd'hui en question. Comme le montre Christoph Conrad, loin des analyses par trop théoriques dominant en sciences sociales, c'est une approche bien plus ténue, mais dynamique, qui s'exprime dans ce dossier.

Vincent Viet interroge les processus socio-historiques par lesquels, au tournant du XXe siècle, et à partir de situations sociales et politiques très différentes, l'Allemagne et la France élaborent des systèmes de protection qui convergent dans l'entre-deux-guerres. Noel Whiteside, comparant les situations de l'Allemagne, de la France et de la Grande-Bretagne sur une plus longue durée, s'attache à analyser la protection sociale sous l'angle du fonctionnement de ses institutions, qui incarnent des interprétations parfois très différentes de la démocratie sociale. Stefania Bernini souligne, à propos des politiques de l'enfance et de la famille, que l'étatisation de la prise en charge ne remet pas en cause, mais redéfinit les complémentarités durables entre le public et le privé (les familles et les Églises) ou le local et le national.

Olivier Compagnon et Elisabetta Vezzosi, enfin, nous rappellent que cette histoire n'est pas spécifiquement européenne. En Amérique latine, elle connut un coup d'arrêt brutal le 11 septembre 1973; suivit une expérimentation du retrait de l'État : plus de " traitement " de la question sociale autre que policier. Aux États-Unis, en revanche, considérés à tort comme un État social tardif, l'État maternaliste - qui restreint l'accès aux droits sociaux aux femmes exclues du marché du travail -, résiste jusqu'à la présidence Clinton. Utilisées pour restreindre le nombre des assistés, aux États-Unis comme en Europe, les politiques de retour au travail confortèrent l'articulation, souvent discutée, entre protection sociale et organisation du travail.

" Rubriques "

Travail : Autour de deux fonds d'archives de femmes, par Christian Hottin.
Biographie & groupe social : Arthur Fontaine, grand commis de la nation et ambassadeur du travail, par Isabelle Lespinet-Moret.
Image : Mariano Garate: un photographe face a l'exclusion, par Jean-François Wagniart.

" Appel à discussion "

Ce Bulletin est ouvert à des contributions concernant ce n° 6 de H&S y compris l'éditorial de la rédaction avec l'objectif de favoriser une " vie " des numéros après la parution. Vous trouverez, ci-dessous, une première intervention dans ce sens. Ultérieurement, cette phase de travail collectif pourra se développer en ligne (quand le site de la revue existera).


Point de vue :

"Quels enjeux autour de l'Etat social ? "

Depuis la création de la revue Histoire & Sociétés, le comité de rédaction s'est attaché à mettre en discussion les éditoriaux de chaque numéro. Mais, pour la première fois, la discussion sur le n°6 a posé la question du statut de l'édito.

En effet, H&S - à sa création - entendait promouvoir une approche " engagée " de l'histoire sociale et une démarche " militante " de ses animateurs, au sens d'une parole collective de la rédaction. Aussi la question du statut de l'éditorial devait-elle se poser : doit-il et peut-il exprimer une position collective de la rédaction ?
Alors qu'on assiste à un reflux de l'intervention, voire à la marginalisation de l'histoire et les sciences sociales dans le champs social et politique, cette interrogation n'a rien d'anodin. Les enjeux autour de l'Etat social ne pouvaient que susciter une discussion animée.

Nos amis italiens et espagnols nous ont fait remarquer qu'il était indispensable d'intégrer dans la discussion la dimension comparatiste. En effet, les systèmes de protection sociale ne reposent pas partout comme en France ou en G-B sur une présence forte de l'Etat. Encore que, pour la France, il conviendrait de nuancer en soulignant que l'intervention directe de l'Etat résulte d'une évolution datant des années 1970. Certains systèmes sont en effet largement décentralisés et reposent sur une organisation territoriale.

Un des points abordés a porté sur le rôle de la " nouvelle gauche " dans critique de l'Etat-providence. En effet, si le projet d'éditorial évoquait la montée en puissance de la critique libérale des systèmes de protection sociale, il était muet sur une critique de l'Etat social mise en avant pas certains mouvements issus de mai 68. Or, on ne peut ignorer l'existence de cette critique de gauche. On ne peut faire l'économie d'une réflexion sur le rôle des organisations politiques de gauche dans l'histoire de l'Etat social (au-delà de la commémoration et des mythes) et se contenter d'une dénonciation pieuse du libéralisme
Il conviendrait aussi de s'interroger sur le rôle de certains groupes sociaux et professionnels, le corps médical, bien entendu un de ces groupes, mais aussi les professions libérales, les professions indépendantes ou encore les agriculteurs.

Autre point intéressant apparu dans la discussion, le glissement de la finalité assignée à la protection sociale. A la création de la sécurité sociale, l'objectif central était d'offrir au salariat une assurance contre les accidents de la vie (accidents, maladie, vieillesse notamment). Il s'agissait d'introduire des instruments de justice sociale en faveur du plus grand nombre. Si cet objectif existe toujours aujourd'hui, il est intéressant d'observer qu'il coexiste avec d'autres, notamment la lutte contre les inégalités sociales, entendue au sens de démocratisation de la société.
A cet égard, le fait que nombre d'entre les membres du comité de rédaction inclue spontanément l'école dans le dispositif de l'Etat social est très significatif. Il faudrait s'interroger sur ces finalités (concurrentes ou complémentaires ou exclusives ?) et sur leur construction respective.

Jérôme Martin

 

Histoire & Sociétés… LA REVUE……

Au moment où le n° 6, sur Les Etats sociaux, est à l'impression, il est temps de faire un bilan d'un an et demi d'existence de la revue qui est, sinon la raison d'être au moins la principale activité du Groupe d'histoire sociale auquel elle appartient et qui en finance et équilibre les comptes d'exploitation.

Nous avons environ 1000 abonnés. C'est beaucoup et encore trop peu. C'est beaucoup car rares sont les revues qui, dans le monde universitaire, atteignent une telle diffusion. Dans ces 1000 abonnés, il y a une centaine de Centre de documentation et d'Information d'établissements scolaires du Secondaire. Ainsi s'esquisse la conquête d'un lectorat nouveau : faire lire une revue comme Histoire & Sociétés à des lycéens, par exemple dans le cadre des Travaux personnels encadrés (TPE), c'est préparer de futurs étudiants à l'utilisation des revues dans le cadre de leur DEUG ou de leur Licence. Il s'agit là d'un objectif important d'H & S qui justifie certains choix : une maquette coûteuse, une iconographie abondante, une bonne lisibilité en termes de composition des dossiers et de construction des rubriques, une taille raisonnable des articles (30 000 signes) et des dossiers ouverts à un renouvellement des approches de l'histoire sociale.

Nous voulons maintenant gagner d'autres lecteurs. D'abord dans les UFR d'histoire, de sociologie, de sciences humaines en général, par abonnement des bibliothèques mais aussi par abonnements individuels : l'abonnement à H&S est peu coûteux (36 Euros). Mais chacun sait que les étudiants, leurs professeurs eux-mêmes, s'abonnent peu, sont difficiles à fidéliser et considèrent volontiers les revues comme des instruments interchangeables de documentation plutôt que comme des lieux de réflexion et de travail auxquels on adhère, auprès desquels on se sent engagé. Cela peut-il changer avec Histoire & Sociétés ?

L'équilibre financier d'Histoire & Sociétés

Les membres du GHS peuvent se tourner vers leurs proches, étudiants, collègues du Secondaire et du Supérieur, responsables de bibliothèques et de CDI, et aussi professionnels de l'action sociale, grand public cultivé, pour les inviter à rejoindre les 1000 abonnés à Histoire & Sociétés.
Il faudrait tripler le nombre d'abonnés pour atteindre un équilibre financier durable d'H&S. Le déficit, pour 2002, est de 13 000 Euros. Dès à présent, nous devons donc lancer un appel à la souscription pour donner du temps à Histoire & Sociétés afin d'atteindre ses objectifs de diffusion.
Nous proposons à tous les abonnés à H&S, à tous les membres du GHS, de nous aider financièrement et de solliciter, autour d'eux, amis et collègues. Nous nous adressons, dans cet esprit, aux membres du Conseil scientifique, à tous les chercheurs, enseignants-chercheurs et étudiants qui accompagnent et encouragent l'entreprise éditoriale du Groupe d'histoire sociale depuis maintenant deux ans.


BULLETIN DE SOUSCRIPTION
Nom :

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" : abonné à H&S " :

adhérent du GHS :


Oui, je souhaite aider la revue Histoire & Sociétés et je verse une souscription de :
" : 50 € " : 100 € " : 150 € " :

autre montant, précisez lequel :


merci d'envoyer vos chèques à l'ordre de Groupe d'histoire sociale, au trésorier J. Martin, 9 rue de Clignancourt, F 75018, Paris
(vous pouvez payer en plusieurs fois, avec plusieurs chèques, au dos la date de retrait)


 

 

 

 

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